L'Alpe 110 - Giono
Le premier numéro de L’Alpe consacré à une personnalité phare de la culture alpine.
« Par nature, je suis un montagnard ». Alors qu’on a voulu faire de lui un romancier provençal, Jean Giono (Manosque, 1895-1970) est un « rêveur des montagnes ». Imaginée, transfigurée, la montagne habite nombre de ses œuvres, à l’instar de Colline, Le Chant du monde, Un roi sans divertissement, Le Déserteur. Ce numéro de L’Alpe s’attardera sur plusieurs régions alpines qui l’ont particulièrement inspiré : le Piémont dont son grand-père était originaire ; le Trièves, où il aimait se rendre l’été et où il se liera d’amitié avec la peintre Édith Berger, le col Bayard où il rêvait de bâtir un chalet ; le Valais où il suit le déserteur et peintre d’ex-voto Charles-Frédéric Brun.
Au sommaire :
- Giono pour les non-Gioniens
- Un air de Piémont
- Dans l’atelier de Giono. Les trois bureaux du Paraïs et le chalet imaginaire du col Bayard.
- Édith Berger, Giono et le Trièves. Une histoire d’amitié
- Le Valais du Déserteur
- Les météores
- Tringlot. La métamorphose d’un truand devenu berger.
- Le paysan chez Ramuz et Giono.
- La philosophie gionienne de la nature. Une écopoétique ?
- Le Haut Pays de Pierre Ambrogiani.
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